
Éloge de Richardson
تأليف : Denis Diderot
النوعية : الفكر والثقافة العامة
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Éloge de Richardson by Denis Diderot ....Découvrez nos nouveautés sur Twitter https://twitter.com/BibliothequeHG ET Facebook https://www.facebook.com/Bibliothequehg EXTRAIT: Notice préliminaire De 1754 à 1762 parut à Paris un recueil
littéraire qui, sous le nom deJournal étranger, fut rédigé d’abord par Grimm, puis successivement par Toussaint, l’abbé Prévost, Fréron, Deleyre, Arnaud et Suard. Ces deux derniers, tous deux fort aimables, dit Grimm, mais dont l’un était fort dissipé et l’autre très-paresseux, mettaient la plupart du temps leurs amis à contribution. Diderot leur fournit, « pour la dépense du ménage, » deux articles : celui sur Richardson et celui sur Térence, que nous faisons suivre, parce que celui sur Térence, qui, au premier abord, semblerait devoir être placé dans la critique théâtrale, a trait à l’écrivain plutôt qu’à l’auteur dramatique. L’Éloge de Richardson est ici bien à sa place. Il nous donne la raison de l’énorme distance qui sépare les premiers romans de Diderot de la Religieuse. Dans l’intervalle, Diderot avait lu Clarisse, et il s’était senti initié. Il avait compris et il avait exécuté, quoiqu’il se reproche en finissant de « n’avoir encore rien tenté qui le recommande aux temps à venir. »
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littéraire qui, sous le nom deJournal étranger, fut rédigé d’abord par Grimm, puis successivement par Toussaint, l’abbé Prévost, Fréron, Deleyre, Arnaud et Suard. Ces deux derniers, tous deux fort aimables, dit Grimm, mais dont l’un était fort dissipé et l’autre très-paresseux, mettaient la plupart du temps leurs amis à contribution. Diderot leur fournit, « pour la dépense du ménage, » deux articles : celui sur Richardson et celui sur Térence, que nous faisons suivre, parce que celui sur Térence, qui, au premier abord, semblerait devoir être placé dans la critique théâtrale, a trait à l’écrivain plutôt qu’à l’auteur dramatique. L’Éloge de Richardson est ici bien à sa place. Il nous donne la raison de l’énorme distance qui sépare les premiers romans de Diderot de la Religieuse. Dans l’intervalle, Diderot avait lu Clarisse, et il s’était senti initié. Il avait compris et il avait exécuté, quoiqu’il se reproche en finissant de « n’avoir encore rien tenté qui le recommande aux temps à venir. »
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